un jeu.... il faut trouver qui est "je"

C'est vrai que là j'ai beau me creuser la tête...

Faut laisser décanter !

c'est utile et assez petit pour tenir à plusieurs dans une main !

Une fausse dent ? Lol.

"Me voilà d'une humeur mordante"...

Une pince à cheveux ?

Si tes dents etaient comme les miennes , genre de cheval , tu dirais pas qu'elles pourraient tenir plusieurs dans la main!!!
Bon utile? et qui peut tenir plusieurs dans la main des grains d'avoine?

KiWin a écrit:

"Me voilà d'une humeur mordante"...

Une pince à cheveux ?

chaud chaud

Ramsès II a écrit:

Une fausse dent ? Lol.

j ai pas dit à plusieurs dans la bouche...

te servirait à quoi des fausses dents dans la main MDRRRRRRRRR

Ah une epingle à cheveux alors?

non rien à voir

Bigoudi ? Peigne ? Brosse à cheveux ?

Citation :

Je me dandine, je danse, je volète ! Oups ! je suis funambule ! Heureusement que je ne suis pas sujette au vertige !

Que vous êtes ingénieux, vous, les humains ! J’en suis épatée ! En fait, je devrais dire que je vous en suis reconnaissante car, il faut bien l’avouer, sans, vous, je n’existerais pas !

Enfin sous ma forme actuelle car autrefois « j’étais déjà » même si différente !

Disons que j’étais matière brute ! Pareille au marbre qui dort sous la terre ! Extrait, taillé, ciselé, patiné : vous en faites des statues ! Des œuvres d’art ! Ha !!!!!!! Pour un peu, vous seriez des dieux vivants !

Bon, restons modeste : je n’atteindrai jamais ce satut ! (hé hé hé !!!! Joli jeu de mots ! suis fière de moi pour l’avoir si bien placé ! ! Comment ? Vous n’avez pas saisi ! Mais… statue et statut voyons !!!!!!

Bref… admettons-le de bonne grâce : précieuse, je ne le serai jamais ! Pour le moins, les premières de ma lignée seront-elles étiquetées, un jour, « antiquités » ! Ce qu’elles méritent amplement ! Quoique… Un tel honneur pour une entaille dont vous êtes les auteurs ? Enfin ! Je ne vais quand même pas bouder une si belle distinction juste pour ce détail insignifiant ! D’ailleurs, le nom de celui d’entre vous qui a été à l’initiative de ma création est depuis longtemps tombé dans les oubliettes du temps ! Et ceci en supposant que ce nom-là eut un jour été connu !

Et puis… j’ai tellement changé que j’estime ne plus rien devoir à cet astucieux inconnu !

Parfois encore de bois, même si de beaucoup moins rustique que celui de mes origines, je suis surtout désormais de plastique noué d’acier. Mais il n’empêche, bien qu’ayant perdu quelque noblesse quant au matériau dont je suis constituée, je suis fort heureuse d’être !

Il est vrai que vous me laissez sans le moindre remords exposée aux plus brûlants des rayons de l’astre solaire. Ce dont je ne vous garde nullement rancune, c’est bien pour cela que vous m’avez créée, non ? Mais, même si je ne vous suis d’aucune utilité par temps d’orage, est-il vraiment indispensable de me laisser ainsi sans défense face à ces trombes d’eau qui me noient ? De plastique, à la rigueur, j’y résiste allègrement même si mon acier se ternit. Sans compter que, à force de passer de la sécheresse à la noyade, j’en deviens un tantinet cassante !

Mais de bois ! C’est cruel ! Pire : criminel ! Je gonfle, je gonfle… ça en est presque douloureux ! Oui ! Douloureux ! Parce que, ensuite, évidemment ! je dégonfle !

Et puis, toute cette poussière ! c’est intenable ! Et toutes ces impuretés que le vent auquel vous me livrez amène et dépose sur moi, sans scrupule ! De la suie dont il s'encombre au-dessus des cheminées des villes, du sable qu’il récolte lorsqu’il embrasse la terre de trop près, des feuilles mortes dont il débarasse les têtes chenues des arbres, aux squelettes d’insectes desséchés, aux plumes duveteuses qu’il arrache de quelques misérables nids désertés ! De tout cela cet éole insolent m’honore et je m’en passerais bien !

Comment voulez-vous que, traitée ainsi, je puisse encore vous servir convenablement ? Ha je vous entends bien marmoner entre vos dents… que je suis sale… que je vais souiller tout ce que je touche !
Ho que le bonheur est chose fragile ! vous, là… oui ! Taisez-vous donc ! Tenez, de si heureuse tantôt, me voilà d’humeur mordante !

vous n'êtes que des ingrats !

Je pense à un bocal où des herbes macèrent.

Ramsès II a écrit:

Je pense à un bocal où des herbes macèrent.

Bon, je suis au lit avec mon portable mais je peux te dire que l'idée m'est venue à cause du soleil.

Parce que j'ai des recettes pour faire macérer des plantes pendant deux semaines au soleil.

Mais ce qui ne colle pas, c'est le plastique avec les cercles de métal.

Arf ! Ce pourrait être un vaporisateur de parfum.

çà y est!!! Je crois qu'il s'agit de "Pince à linge"....

Polichinelle a écrit:

çà y est!!! Je crois qu'il s'agit de "Pince à linge"....

Ca se pourrait bien

HOURRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAAAAAAAAAAAA !!



oui... pince à linge

bravo !


et moi ça y est j'ai plus d'internet ça ne marche plus de nouveau!

Ramsès II a écrit:

Je pense à un bocal où des herbes macèrent.

RAMSES...

un bocal funambule, qui danse et qui volète... t'as pas peur de la casse ???

mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Ah bon? alors j'ai trouvé ? et ben , çà alors!!! suis le meilleur alors? bon je vais faire un triple hourra avec mon Winnie autour du lac ... bon dimanche...

à la suivante ! ET ELLE EST TRES FACILE !!!

Citation :

Combien vous me semblez petits et fragiles, vous les humains !
De si haut, je vous fixe de mon regard avide, misérables insectes qui filez à pas pressés au ras du sol, sans jamais lever vos yeux vers moi.
Et si, par hasard, vous vous y aventurez, je vois bien comment vous me regardez !
Que craignez-vous ? Moi ? Ce que je suis devenue, je vous le dois !
Avez-vous oublié ce que j’étais au tout début ? Je ne demandais rien, n’en espérais pas davantage ! Mais il a fallu que vous vous en méliez !
J’aurais pu être légere comme un elfe et belle comme une déesse ! Mais non…
Je suis le reflet de vos cauchemars ! Je tourne vers vous des faces aux traits de vos terreurs, je suis pareille à ces monstres que vous abritez en vos âmes torturées !
Ou bien est-ce pour les repousser que vous m’avez poussée vers l’horreur ? Pour les effrayer, les chasser, vous en libérer ! Dans l’unique but de les tenir à distance de vos petites vies !

J’ai froid et j’ai mal, blottie dans mon sinistre plumage, arc-boutée sur mon aire de pierre ! Et ma gorge pleure les larmes que les cieux versent sur mes rêves d’envol brisés.

Une gargouille ?

Oui , je crois bien que c'est çà... Pas mal , pour un premier coup , direct au but!!!

KiWin...tu es un champion !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Alors tes souçis sur la connexion sont finis? tant mieux si c'est le cas, car rien de pire pour empoisonner la vie du petit internaute!!!
bisous

Facile en effet.