problème

après avoir terminée mon stage d'infirmier de poste , nous devion être capable d'intervenir dans beaucoup de ças , et se fût le départ pour le poste de COG-BAG , chaque matin ,il me fallais faire un tour au village pour soigner quelques bléssures infecter , mai jamais rien de très grave , entre deux nous allions mon groupe et moi faire des embuscades de nuit ,ou des travaux de protections et nettoyage des armes sécurité puis un jour du moi de mai 1950 , faisant ma tourné de routine , ce que je vit , fût une chose terrible ,une dame couverte entierrement d'une croutte purulentes ,puis une autre et une autre , des jeunes enfants nous étions en pleine épidémi de variole , tout de suite il ma fallu faire intervenir le chef de poste pour prévenir notre toubib au plus vite ,et connaitre le remêde et essayer de faire le maximum , reponse du toubib , a NGHIA-LO , c'est catastrophique , il n'y a rien que tu puisse faire , un variole gueri tout seul tu peu l'aider a la rigueur en le badigeonnant de mercurochrome , il n'y a pas de place pour faire une piqure , attention a la variole noire , se sont des petits vaisseau qui claques elle ne pardonne pas , c'est la mort assurer , prend soin de te laver les main a la chaud vive , maladie très contagieuse , jaimerais que tu vient avec d'autre a NGHIA-LO pour me seconder il y a enormement de travail et aussi des morts ,le lendemain je suis parti pour rejoindre notre toubib , juste une petite parenthese , le docteur en question est toujours vivant , c'est l'ancien maire de bandol , a suivre ,

Claude a des photos qui sont des documents historiques.

Il va vous en mettre quelques unes. Dont il vous fait cadeau. Mais les originaux restent bien entendu sa propriété.

Une photo de Co-Bang :



Pour voir la photo en plus grand, cliquez dessus.

C'est sans doute une idée bête mais je me trompe ou pas : y-a-t-il un chien sur cette photo.

Toutes les armées utilisent des chiens et il faut aussi leur rendre hommage.

Moi et mon camarade tué en octobre 1951 pour un volontaire de la mort rené lava un gars de lille.

Il était haut de taille, ton ami.

Je me demande si ce n'est pas à cause de ça qu'il a été tué.

J'ai encore d'autres photos mais je suis fatigué.

Je vous les passerai plus tard.

Oui, demain est encore un jour.

Dis moi Claude, t'es où sur les photos ?

Sur la première, je ne sais pas : je ne le reconnais pas.

Sur la deuxième, c'est le plus petit des deux.

Il y aura d'autres photos. Mais pour le moment, Claude n'arrive pas à se connecter. Problème chez Wanadoo.

Ramsès II a écrit:

Problème chez Wanadoo.

Pléonasme...

C'est pourtant un des "moins pires" si j'ose dire. Enfin, d'après ce que d'autres me disent.

En tout cas, Claude râle parce qu'il aurait voulu ajouter encore un morceau de son histoire qui est loin d'être finie.

Ramsès II a écrit:

C'est pourtant un des "moins pires" si j'ose dire. Enfin, d'après ce que d'autres me disent.

Ben forcément ! Ceux qui n'en sont pas contents ne sont pas là pour en parler, puisqu'ils sont déconnectés....

Ramsès II a écrit:

En tout cas, Claude râle parce qu'il aurait voulu ajouter encore un morceau de son histoire qui est loin d'être finie.

Oui, espérons qu'il soit vite de retour.

KiWin a écrit:

Ramsès II a écrit:

Problème chez Wanadoo.

Pléonasme...

alors suis à 100000 % d'accord ! mais je le dis pas trop fort d'ici à ce qu'il se vexe s'il m'entend ! et fffffffffffffffffffffftttttttt privée de connexion !

Ils s'en fichent bien ! Parce que ça gonfle les notes de téléphone.

C'est moi ça !

une fois arrivée a l'hôpital , si l'on pouvais appeler ça un hôpital , je fût terriblement surpris de voir le nombre de varioleux , pas question de chomer ,il y en avais tellelent que nous ne savions plus ou mettre la tête , , il fallais surtout prendre d'énorme précautions pour cette maladie très contagieuse , entre deux , nous devions nous occuper des autres malades ,,quand a moi , le jour suivant des tirailleurs sont venu me ramener un de leurs camarades tuer dans un village voisin , il ma donc fallu l'extraire de son branquard et le placer sur un lit de bambou pour faire sa toilette et le mettre ensuite dans une caisse approprier , et retourner de suite a mes varioleux ,et la puenteur en prime , en suite il ma fallu m'occuper d'une personne âges qui avais un cancer du sain tout pourri , je prèfére ne pas en dire plus , cette bonne femme est décédes le lendemain ,ça ma drôlemen choquer ,après que notre toubib le doteur XAVIER SUQUET aui réussi a stoper cette maladie , j'ai repris la piste et traverser la riviere a gué pour rejoindre le poste de COG-BANG a suivre

arrivée au poste ,j'ais repris mes habitudes , il n'y avais aucune exeption , tous nous étions volontaire pour les travaux de défense du poste , le soir après la soupe , quand toute était calme ( très rarement ) nous allions nous assoirs autour d'un feu de bambou ou un de nos camarades corses fredonner des chansons de son pays , vers 22heures je partez en embuscade avec mon groupe , et nous rentions vers 7heures bredouille le plus souvant , ou l'on ramenez au poste un émissaire nhaqué ( paysant ) suspect , dans le bassin de NGHIA-LO se côtoient , THAÏ BLANCS ET NOIRS ,THOS , MANS ,MEOS , CHINOIS , de temps en temps , nous avions des prisonniers DUKICH captures par nos patrouilles , qui le plus souvent rejouidrons nos rangs , de temps a autre nous effectuions des liaisons entre poste pour acheminer de la marchandise ou accompagner des nouveaux arrivants pour d'autres postes avancér , a suivre

T'y est retourné depuis ?

Je ne le pense pas mais Claude est absent jusqu'à lundi soir.

de retour au poste de COG-BANG, rien n'avais changer , nous avions toujours de quoi passer nos journées , travaux de défense ,et sortie nocturne pour tendre des embuscades , puis un jour de septembre , notre commandant de compagnie , nous fit connaître notre prochain départ pour SON-BUC ,pour débroussailler le piton , et commancer les travaux de défenses ,sans oublier de creuser nos emplacements individuels , moi avec ma piece de mortier de 60 , et mon pointeur , les tirailleurs dresser les nouvelles caînhas , chacun se preparais a subir l'attaque ,puis au matin du 04 octobre 1951 vers les 6heures je distinguér au bout de notre piton dans le brouillard du matin , des choses anormaux des voltigeurs viets qui faisais des bons , de suite je le fit connaître au capitaine bes-de - bergue , celui - ci , pris un groupe , mai n'eu pas le temps , nous étions attaqués par la division 303 et 308 viet-mine du général GIAP , nous entendiment les ordres pour chacun de nous venant de notre P C , une véritable bataille ranger sa tirer de partout, nous recevions des obus de martier , rafale de mitrailleuse ,il lancais des obus dans les barbelés pour se frayer un passage pour nous atteindres , quand a moi je recevais des ordres directes du chef de poste , pour envoyer des obus a 50 mêtres de nous , nous entendîment les assaillants a mort et ceux agonisants appeler leurs mère , a suivre

Claude le Zazou a écrit:

Moi et mon camarade tué en octobre 1951 pour un volontaire de la mort rené lava un gars de lille.

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Dis Claude , j'ai connu des "Lava" ! Il n'était pas du quartier de Fives ?

oui , mon ami RENE LAVA était de lomme et aussi des parents a fives ,
au poste de SON-BUC , nous étions constamment harceler d'éléments viet-mines , nous les entendiment hurler a mort , en tantant de briser nos lignes qui truffer de mines semer la mort a chaque explosion , et nos dirigents qui nous donnez des ordres a chacun de nous ,prisette envoye 4 obus sur la D Z , il y avais tellement de vent cette nuit là qu'un des obus éclairante tomba sur la caînhas de notre commandant de compagnie qui se trouver a peine quelques mètres de nos abris ,nous assistament a un véritable feu d'enfer , nos adversaire profitérent de nous harceler de plus belle ,nous entendiment exploser des abus de 81 sur nos positions , les granades et le crépitements des armes automatiques , se fût une nuit terrible , notre piton était parsemer de tuer et blesser qui crier de souffrances , c'était pas très jolie a entendre , quand a nous ,nous devions être très vigilent , en plus nous crevions de faim et de soif nous devions nous contenter de manger des biscuits sec et boire un verre d'eau quand il y en avais , car il fallait descendre le piton pour atteindre la riviere , sous le feu violent de l'adversaire , ,a suivre

Quels moments affreux !